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Le journal des mitzvot et de la torah

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Le Journal des Mitzvot et de la Torah


Le shabbat, jour de repos hebdomadaire

Aussi écrit : chabbatsabbat et shabbos

Le shabbat, qui signifie « cessation [du travail] », est une fête hebdomadaire réputée avoir été instituée par Dieu et dont l’observance fait partie des 10 commandements. Observée du vendredi soir au samedi soir, elle se caractérise par son caractère chômé.

Une fête hebdomadaire définie par la cessation de toute activité

Le shabbat est la fête la plus fréquemment mentionnée dans la Torah, où elle apparaît dans chacun des cinq livres réputés écrits par Moïse. La première mention d’un jour annuel de repos apparaît en effet dès le 2e chapitre du Livre de la Genèse, dans le récit de la Création :

Genèse 2,2-3 : « Dieu acheva au septième jour l’œuvre qu’il avait faite, il cessa au septième jour toute l’œuvre qu’il faisait. Dieu bénit le septième jour et le consacra car il avait alors cessé toute l’œuvre que lui-même avait créée par son action. »

Dans ces deux versets, le verbe hébraïque traduit en français par « cesser » est le même que celui sur lequel est construit le nom shabbat. L’interprétation du shabbat comme une commémoration du repos observé par Dieu lui-même le 7e jour après la création du monde est reprise dès le Livre de l’Exode :

Exode 20,8-11 : « Que du jour du shabbat on fasse un mémorial en le tenant pour sacré. Tu travailleras six jours, faisant tout ton ouvrage, mais le septième jour, c’est le shabbat du Seigneur, ton Dieu. Tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, pas plus que ton serviteur, ta servante, tes bêtes ou l’émigré que tu as dans tes villes. Car en six jours, le Seigneur a fait le ciel et la terre, la mer et tout ce qu’ils contiennent, mais il s’est reposé le septième jour. C’est pourquoi le Seigneur a béni le jour du sabbat et l’a consacré ».

Dans le Livre du Deutéronome, ce jour est également défini comme un mémorial de la Sortie des Hébreux d’Egypte :

Deutéronome 5,12-15 : « Qu’on garde le jour du shabbat pour le sanctifier, comme le Seigneur ton Dieu te l’a ordonné. Tu travailleras six jours, faisant tout ton ouvrage, mais le septième jour, c’est le shabbat du Seigneur ton Dieu. Tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bœuf, ni ton âne, ni aucune de tes bêtes, ni l’émigré que tu as dans tes villes, afin que ton serviteur et ta servante se reposent comme toi. Tu te souviendras qu’au pays d’Egypte tu étais esclave, et que le Seigneur ton Dieu t’a fait sortir de là d’une main forte et le bras étendu ; c’est pourquoi le Seigneur ton Dieu t’a ordonné de pratiquer le jour du shabbat ».

Outre l’observance d’un repos hebdomadaire par le peuple, le shabbat était également l’occasion de sacrifices supplémentaires au temple de Jérusalem :

Nombres 28,9-10 : « Le jour du shabbat, on offrira deux agneaux d’un an sans défaut, avec une offrande de deux dixièmes de farine pétrie à l’huile et la libation requise. C’est l’holocauste du shabbat qui, chaque shabbat, s’ajoute à l’holocauste perpétuel et à sa libation ».

En outre, dans le livre biblique attribué au prophète Ésaïe définit, le shabbat est défini comme une fête de réjouissance :

Ésaïe 58,13-14 : « Si tu appelles le shabbat "Jouissance",
le saint jour du Seigneur "Glorieux",
si tu le glorifies, en renonçant à mener tes entreprises,
à tomber sur la bonne affaire
et à tenir des palabres sans fin,
alors tu trouveras ta jouissance dans le Seigneur ».

La détermination des activités prohibées lors du shabbat

Les différents passages de la Torah portant sur le shabbat signalent tous qu’il est à cette occasion interdit aux juifs d’accomplir tout « travail de servitude », mais la signification de cette formule n’est pas précisément définie. Les livres de l’Exode et des Nombres précisent qu’il est interdit, sous peine de mort, d’allumer du feu et de ramasser du bois, ce qui entraine l’impossibilité de préparer un repas. D’autres indications sont fournies par les livres prophétiques et historiques de la Bible hébraïque : il était également interdit de procéder à des transactions, de vendre des biens ainsi que de porter des charges.

Vers 200 de notre ère, la Mishna fait l’inventaire des différentes actions que les rabbins considèrent prohibées lors du shabbat, réparties en 39 types d’activités. En plus de celles qu’ils dérivent des prescriptions de la Torah, les rabbins ajoutent des interdictions supplémentaires : on y trouve notamment le fait de grimper aux arbres, de circuler à dos d’animal, de nager, d’applaudir, de danser ainsi que de siéger dans un tribunal. Les sources romaines confirment que sous l’Empire, les juifs étaient ainsi dispensés de comparaître en justice ou de procéder à des paiements le jour du shabbat.

Une fête particulièrement importante

L’importance du shabbat est en outre soulignée dans la Bible hébraïque par le Livre de Néhémie, selon lequel c’est parce que les juifs auraient failli à cette obligation que Jérusalem aurait été conquise par les Babyloniens au VIe siècle av. n.è. :

Néhémie 13,17-18 : « Je fis des reproches aux notables de Juda et je leur dis : "Quelle est cette mauvaise action que vous commettez en profanant le jour du shabbat ? N’est-ce pas ainsi qu’ont agi vos pères ? Alors, notre Dieu a fait venir sur nous, ainsi que sur cette ville, tout ce malheur. Mais vous, en profanant le sabbat, vous aggravez la colère de Dieu contre Israël !" ».

A partir de l’Antiquité tardive, les rabbins tendent à présenter le shabbat comme le plus important des rites juifs. Ainsi, ils considèrent les juifs qui ne le respectent pas comme des idolâtres ; à l’inverse, celui qui observait ce jour était absous de tous ses péchés, y compris l’idolâtrie. Le repos du 7e jour est présenté comme un avant-goût du monde à venir dont la stricte observance provoquera la venue du Messie.

Un jour de fête à cheval sur deux journées 

Le cycle biblique de 6 jours de travail suivi d’un jour de repos est à l’origine du découpage du temps en semaines, lequel s’impose progressivement dans l’Empire romain. Dans ce nouveau calendrier, le shabbat correspond au jour de Saturne, celui que nous nommons « samedi ». Cependant, comme toutes les fêtes juives les plus solennelles, le shabbat débute en fait à la tombée de la nuit : il est donc observé depuis le vendredi soir jusqu’au samedi soir. Pour le respecter, les juifs observants doivent donc cesser toute activité pouvant être interprétée comme du travail, y compris la préparation de nourriture, avant le coucher du soleil le vendredi, comme l’illustre un apocryphe juif de la Bible, le Deuxième livre des Maccabées, composé vers 160 av. n.è., lequel rapporte une victoire des juifs menés par Juda Maccabée contre des soldats ennemis :

2 Maccabées 8,25-26 : « Après les avoir poursuivis assez loin, ils revinrent sur leurs pas, pressés par l’heure, car on était la veille du sabbat et pour ce motif ils ne s’attardèrent pas à les poursuivre ».

Déterminée par le coucher du soleil, l’heure du début du shabbat varie au cours de l’année : pour les juifs de l’Empire romain, elle était officiellement fixée à la 9e heure du jour, soit entre 13h28 et 14h31 selon les saisons. A Jérusalem, on informait la population de début et de la fin du shabbat par une sonnerie émise depuis le Temple, comme le rapporte Flavius Josèphe, un historien juif de la fin du Ier siècle de n.è. :

Guerre des Juifs IV, 582 : « au-dessus du toit des chambres réservées aux prêtres, là où, suivant la coutume, se tient un des prêtres, pour annoncer au son de la trompette, durant l’après-midi l’approche et, le lendemain soir la fin de chaque 7e jour, indiquant au peuple l’heure de la fin et de la reprise du travail ».

A l’endroit où l’on souffle de la trompette pour... - Pierre conservée au Musée d'Israël
On a retrouvé sur le site du temple de Jérusalem une inscription du Ier siècle av. n.è. portant la formule : « A l’endroit où l’on souffle de la trompette pour… » ; celle-ci est désormais conservée au Musée d’Israël.© The Israel Museum, Jerusalem / Israel Antiquities Authority

La célébration du shabbat au sein du foyer et à la synagogue

Pour marquer le caractère de réjouissance du shabbat, les fidèles ont la coutume de porter à cette occasion des habits de fête. L’impossibilité d’allumer du feu pendant le shabbat a donné naissance au rite de l’allumage de deux bougies par la maîtresse de maison, accompagnée d’une bénédiction spéciale, traditionnellement prononcée 18 minutes avant la tombée de la nuit le vendredi soir. Son horaire précis est désormais déterminé sur la base de calculs astronomiques et varie de semaine en semaine suivant les saisons et le lieu où l’on se trouve. Si le Talmud recommande la consommation pendant chaque shabbat de trois repas festifs, beaucoup de fidèles ont coutume de remplacer le dernier de ces repas, lequel devrait avoir lieu le samedi en fin d’après-midi, par une session d’étude. Les repas du vendredi soir et du samedi midis sont particulièrement copieux et élaborés : on recommande d’ye convier des invités,  diverses bénédictions et hymnes (zemirot) sont récités. Tous deux commencent par une prière sur le vin nommée kiddouch (en français, « sanctification ») suivie d’une ablution rituelle des mains et, en souvenir de la double portion de manne dont, d’après le Livre de l’Exode, Dieu pourvut les Hébreux le vendredi lors de la traversée du désert, d’une bénédiction sur deux miches de pain spécialement préparées à cet effet (hallah). La fin du shabbat est quant à elle marquée par un rituel nommé Havdalah (en français, « séparation ») qui inclut des bénédictions sur le vin, les épices et la lumière.

Représentation du rituel du kiddouch
Représentation du rituel du kiddouch                                                                                                                                  © Hebrew Union College

A la synagogue, le shabbat est marqué par trois offices, célébrés le vendredi soir, le samedi matin et le samedi après-midi. Lors de celui du vendredi soir, on récite des Psaumes et on chante un hymne nommé Lekhah Dodi (« Va, mon bien-aimé ») composé au XVIe siècle par le kabbaliste Salomon Halévy Elkabetz. C’est lors de l’office du samedi matin qu’a lieu la lecture de la section hebdomadaire de la Torah, nommée paracha, suivie d’une lecture tirée des livres prophétiques de la Bible, nommée haftarah.

Livre de prières pour le shabbat (Seder tikkun shabbat), exemplaire du XVIIIe siècle
Livre de prières pour le shabbat (Seder tikkun shabbat), exemplaire du XVIIIe siècle© Center for Jewish Art

Le débat sur l’utilisation de l’électricité et du carburant pendant le shabbat

Les progrès technologiques ont engendré de nombreux débats sur les modalités d’observance du shabbat dans les sociétés modernes. On se demande ainsi si l’utilisation de carburant et de l’électricité tombent sous le coup de l’interdit portant sur l’allumage du feu. Sur ces questions, les opinions divergent selon les communautés. De manière générale, les juifs orthodoxes interdisent les déplacements en voiture comme en transports en commun ainsi que l’utilisation de l’électricité (avec une exception pour le réfrigérateur). Cependant, dans la mesure où la Torah n’interdit pas à proprement parler l’utilisation du feu, mais son allumage, on a tendance à considérer que l’acte interdit est celui d’appuyer sur un interrupteur ou un bouton de mise en marche. Pour un juif pratiquant, il est donc possible d’avoir chez soi des ampoules ou les plaques de cuisson allumées pendant le shabbat, mais à condition que celles-ci aient été mises en route avant le début du shabbat et le restent en continu jusqu’à la fin de la fête.

En Israël, dans les régions où la majorité de la population est juive, le shabbat est le jour de fermeture des institutions et des commerces, même si la législation à ce sujet est complexe et souffre de nombreuses exceptions. Quant aux transports en commun, leur circulation est régie localement : si les lignes de bus ne fonctionnent pas à Tel Aviv ou à Jérusalem-ouest, le trafic est assuré dans d’autres grandes villes comme Haïfa.

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Verre à kiddouch en nickel, avec sa soucoupe
Verre à kiddouch en nickel, avec sa soucoupe© espace-judaisme.com

PESSACH

 הקערה
מה מונח בקערה?
שלוש מצות, מרור (חסה), חזרת (חסה), זרוע צלוי, ביצה מבושלת, כרפס, חרוסת.
מצה שמורה – ישתדל לאכול מצה שמורה עבודת יד.

מצוות ארבע כוסות של פסח
מתי שותים ארבע כוסות?

תיקנו חכמים לשתות 4 כוסות כנגד 4 לשונות של גאולה:
1. כוס ראשונה – "הוצאתי" - שותים בקידוש -פוטרים כוס שנייה שבהגדה.
2. כוס שנייה – "הצלתי" - שותים בסוף ההגדה
3. כוס שלישית – "גאלתי" שותים לאחר ברכת המזון
4. כוס רביעי – "ולקחתי" - שותים בסוף ההלל

גודל הכוס
צריך כוס המכילה לפחות רביעית יין, כלומר, 86 מ"ל של יין (למי שלא בטוח מה הגודל של הכוס שלו ניתן למדוד עם בקבוק של תינוק(

אופן שתיית כוסות היין

תנאים לאופן שתיית הכוסות:
1.  צריך לשתות הכוס בהסבה לצד שמאל
2.  צריך לשתות רביעית מהכוס, היינו 87 מ"ל 
3.  לשתות את כל הכוס בלגימה אחת, אם לא יכול לשתות את רוב הכוס

הלכות הסבה בליל הסדר
הסיבה להסבה -  להראות עצמנו כבני חורין

לאיזה צד מסבים?
ההסבה היא לצד שמאל בלבד, גם לאדם ימני וגם לשמאלי
יסב מעט לצד שמאל ואין צורך להטות את כול גופו לצד שמאל אלא רק מעט, כדרך בני חורין
אדם שלא הסב כלל או טעה והיסב לצד ימין ינהג באופן הבא:
- אדם שלא היסב כלל צריך לחזור ולהסב שוב, אמנם נשים או אדם שאינו בקו הבריאות ששכחו להסב, ניתן להקל ולא להצריכם להסב שוב
- אדם שהסב בטעות לצד ימין נחשב כאילו לא הסב כלל וצריך לחזור ולהסב. אמנם שמאלי שהסב בטעות לצד ימין במקום לצד שמאל, יצא ידי חובה ואינו צריך לחזור ולשתות בהסבה

המקומות בהם צריך להסב
"מוציא מצה"
"כורך"
"צפון"
" 4 כוסות יין"
- אם רוצה להסב בסעודה רשאי
- באכילת המרור: לא מסיבים משום שהוא זכר לכך שמיררו את חיינו במצרים

סדר פסח
הקדמה- אם אפשרי הדבר, טוב שיהיו לכול בני הבית הגדות זהות, הדבר יוצר נוחות בקריאת ההגדה יחד ומונע בילבול

הסימנים
- קדש, רחץ, כרפס, יחץ, מגיד, רחצה, מוציא מצה, מרור, כורך, שולחן עורך, צפון, ברך, הלל, נרצה

קדש
- מקדשים בצאת הכוכבים הקידוש מופיע בהגדה
- מקדשים בעמידה
- מוזגים את הכוס הראשונה זה לזה כדרך חרות
- כל אחד אוחז כוסו בשעת הקידוש
- מסדר הסדר מברך ומתכוון להוציא ידי חובה את הקהל, והקהל מתכוון לצאת ידי חובה בברכותיו. הקהל יענו אמן לאחר ברכת מסדר הסדר
- בשעה שמברכים על הכוס הראשונה "בורא פרי הגפן", יכוון לפטור בברכת זו את הכוס השנייה ששותים מיד בסיום ההגדה 
- בעת שמברך "שהחיינו" בקידוש, יכוון לפטור את אכילת המרור ואכילת המצה בברכה זו
- מיד בסיום הקידוש שותים את הכוס הראשונה, בהסבה לצד שמאל
- גבר ששכח להיסב בשתיית הכוס וחוזר ושותה כוס נוספת הסבה

- אישה שלא היסבה:
- לכתחילה: צריכות לחזור ולשתות כוס נוספת בהסבה
- בדיעבד: אם לא היסבה, יצאה ידי חובה ואינה צריכה לשתות כוס נוספת בהסבה

רחץ
- אדם הרוצה לאכול אוכל הרטוב באחד משבעת המשקים והם: יין, דבש דבורים, שמן זית, חלב, טל, דם ומים, צריך ליטול ידיו ללא ברכה, היינו: שנוטל ג' פעמים על כל יד כמו נטילה לברכת המוציא (אך בלי ברכה). ומשום שאת הכרפס אנו אוכלים שהוא מטובל עם מי מלח ולכן קודם אכילת הכרפס צריך ליטול ידיים בלי ברכה
- דיבור בין נטילת ידיים לאכילת הכרפס:
- לכתחילה: ישתדל לא לדבר בין הנטילה לבין ברכת הכרפס ואכילתו
- בדיעבד: אם דיבר לא יטול ידיו שוב

כרפס
- ניתן לקחת כל ירק שירצה לברכת הכרפס, כגון: תפו"א, גזר וכדומה
- המנהג הוא לקחת כרפס, היינו: סלרי, כמובן סלרי שבדקוהו היטב מתולעים
- יקח שיעור של פחות מכזית כרפס, (פחות מ– 27 גרם ואף פחות 18 גרם כרפס), ודי בחתיכה קטנה בלבד
- יטבל הכרפס במי מלח או חומץ ויברך "בורא פרי האדמה", יתכוון לפטור בברכה זו את המרור הנאכל בהמשך הסדר
- אין צורך להסב באכילה זו, (ואם רוצה להסב רשאי להיסב(
- יש הנוהגים שאחד מברך ופוטר את כולם, ויש נוהגים שכל אחד מברך לעצמו, ונכון יותר שהגדול יברך ויפטור את כולם (וכמובן שהוא יתכוון להוציאם ידי חובה בברכה זו, ואף הם יתכוונו לצאת ידי חובה ויענו אמן(
- טוב להשאיר מעט מהכרפס בקערה של הסדר (על דרך הסוד(

יחץ
- ייקח את המצה האמצעית שבקערה ויחצנה לשניים:
- החלק הגדול: לאפיקומן
- החלק הקטן: ישאיר בין שני המצות
- יש נוהגים לבצוע את המצה בצורת אות ד', ואות ו' הוא על פי הסוד
- החלק הגדול: בצורת אות ו'
- החלק הקטן: בצורת האות ד'
- בחלק הגדול (אפיקומן), ישנם מספר מנהגים:
- יש המכסים אותו תחת המפה
- יש המניחים אותו על כתפם
- יש המניחים אותו על הכתף של אחד הקטנים ושואלים אותו: מאין באת, והוא עונה ממצרים, ולאן אתה הולך, לירושלים. ואומרים כולם לשנה הבאה בירושלים הבנויה

מגיד
- מצוות "עשה" לספר ביציאת מצרים בליל הסדר
- עיקר המצווה היא לספר לבניו ובנותיו שלא הגיעו לחינוך, (ולכן ראוי שישנו הקטנים בערב פסח שנת צהריים כדי שיהיו ערניים בסיפור יציאת מצרים), ואם אין לו בנים יספר לאשתו, אם אין לו אישה יספר לעצמו
- יאמר ההגדה בשמחה ובהתלהבות, וטוב ללמוד קודם הפסח פירוש להגדה
- אסור להפסיק בדיבור בהגדה, אלא לצורך גדול
- לכתחילה יסיים ההגדה קודם חצות הלילה
- החייבים בקריאת ההגדה: גברים, נשים, ילדים קטנים - טוב לחנכם במצווה זו
- אדם שלא יודע לקרוא כלל או אדם שקשה לו לקרוא את כול ההגדה או אדם עיוור, יקשיב לאחר האומר את ההגדה בקול ויצא ידי חובה, שהשומע כעונה. ויקשיב מתחילת ההגדה ועד סופה
- מי שחייב בהגדה, צריך שיאמר בפיו ממש את כול ההגדה מתחילה עד סופה, ולכן כשאחד מבני המשפחה קורא חלק בהגדה בקול וכולם מקשיבים לו, חייבים כולם לומר איתו את ההגדה בלחש
- אדם המהרהר את ההגדה בליבו ולא מוציא את המילים בשפתיו, לא יצא ידי חובה
- מצווה לספר בסיפור יציאת מצרים וראוי לספר במדרשי אגדה המושכים את לב השומעים, אמנם לא יאריך בדברים אם יש ילדים קטנים בשולחן ויש חשש שירדמו לפני אכילת המרור והמצה
- בסוף ההגדה שותים כוס שנייה בהסבה לצד שמאל, בלי ברכה שכבר פטרנו כוס זו בברכה על הכוס הראשונה שבקידוש כמבואר לעיל,

רחצה
- לפני אכילת המצה, נוטלים ידיים עם ברכה לסעודת החג, (ג' פעמים על כול יד(
- אדם שבירך בטעות בנטילת הידיים של הכרפס "על נטילת ידיים" ינהג באופן הבא:
- אם שמר ידיו מלגעת במקומות המכוסים בגופו: יטול ידיו בלי ברכה בנטילה זו
- אם לא שמר ידיו ונגעו במקומות המכוסים שבגופו והסיח דעתו מהנטילה: יטול ידיו בברכה

מוציא מצה
- מצוות עשה על כול המסובים לאכול כזית מצה בליל הסדר היינו 27 גרם מצה
- אמנם אדם שעורך את הסדר (היינו האדם שמברך על המצות), צריך לאכול 2 כזיתות, היינו 54 גרם מצה
- הזית הראשון: מצוות עשה מהתורה לאכול כזית מצה, (27 גרם מצה), כנגד ברכת "על אכילת מצה"
- הזית השני: הוא מצוה מדרבנן לאכול כזית נוסף, כנגד ברכת "המוציא לחם מן הארץ"

- אופן אכילת המצות למסדר הסדר:
- לכתחילה: יאכל את שני הכזתות ביחד
- בדיעבד: ואם אינו יכול לאוכלם יחד, יאכל קודם את הכזית מהמצה העליונה השלמה ואח"כ את הכזית של המצה החצויה האמצעית
- קודם שיאכל את המצות יכוון לצאת ידי חובת מצוות אכילת מצה בפסח, ואף אם לא כיון, יצא ידי חובה
- אופן הברכה והאכילה למסדר הסדר ולשאר המסובים :
- יקח המצות השלמות וביניהם המצה החצויה ויברך על כולם "המוציא לחם מן הארץ"
- אח"כ ישמוט המצה התחתונה מידו ויברך על העליונה ועל החצויה יחד "על אכילת מצה"
ומיד יבצע מהמצה העליונה והמצה החצויה שבידו כזית מכל אחת (היינו 2 כזתות), ויטבל במלח ויטעם מעט
- לאחר שיטעם מעט אם יכול לחלק לכמה מן הציבור 2 כזתות לכל אחד מהמצות שבקערה יחלק לכול אחד 2 כזתות ואם נגמרו לו המצות שבקערה יחלק לכול אחד מן הציבור כזית אחד בלבד, ויאכלו המצות בהסבה
- לאחר שסיים לחלק לכולם, יאכל את המצות בהסבה לצד שמאל
- יאכלו המצה בהסבה לצד שמאל
- אדם שלא היסב:
- גבר שלא היסב באכילת המצה: לא יצא ידי חובה, וצריך לחזור ולאכול כזית מצה נוספת בהסבה
- אישה שלא הסבה באכילת המצה: יצאה ידי חובה בדיעבד ואינה צריכה לחזור ולאכול להסב שוב
- יאכלו את הכזית בתוך שיעור של: 7.5 - 4 דקות, ולא יותר מ 7.5 דקות
- לא ידברו כלל עד שיסיימו לאכול את הכזית מצה
- שיעור כזית: ישנה מחלוקת כמה הוא כזית, יש אומרים 27 גרם ויש אומרים 18 גרם ולהלכה:
- לבריא: הכזית הוא 27 גרם מצה
- לחולה או זקן: ניתן להקל והכזית הוא רק 18 גרם מצה

מרור
- בזמן שבית המקדש היה קיים היה מצוות עשה מן התורה לאכול כזית מרור עם קורבן הפסח. בימינו שאין בית מקדש תיקנו חכמים עדיין לאכול כזית מרור
- יכוון קודם אכילת המרור לצאת ידי חובת אכילת מרור
- מרור = חזרת, הנקרא היום חסה (ישנם עוד מספר מינים של מרור)
- אין יוצאים ידי חובת מרור במרור שלוק או מבושל או מוחמץ או כבוש היינו ששהה 24 שעות במים, אלא חי
- יבדוק החסה היטב מתולעים (יש חברות טובות לגידול חסה ללא תולעים ויש פחות טובות)
- יקח כזית מרור, 27 גרם, וישקעו מעט בחרוסת וינערנו, והמחמיר לשקעו כולו בחרוסת תבוא עליו ברכה וינערנו
- טיבול המרור בחרוסת היא מצווה מדרבנן. הסיבה שמשקעים המרור בחרוסת היא זכר לטיט ולתבן שנשתעבדו בהם ישראל במצרים
- אין מברכים על המרור בורא פרי האדמה
- יברך קודם אכילת המרור: "ברוך אתה....על אכילת מרור"
- אמנם אין לברך על אכילת מרור אחר חצות הלילה
- יאכל המרור בלי הסיבה

כורך
- בסיום אכילת המרור יקח כזית מצה, 27 גר', מהמצה השלישית התחתונה ויכרוך אותה בכזית מרור חסה, 27 גרם, וייטבל כול הכריכה בחרוסת ויאמר "מצה ומרור בלא ברכה זכר למקדש..וכו'", ויאכל הכורך בהסבה לצד שמאל
- אם לא טיבל את הכורך בחרוסת ואכלו כך, אם קשה לחזור ולאכול שוב כורך עם חרוסת בדיעבד יצא די חובה, ומכל מקום יקח מעט מצה עם מעט מרור ויטבלם במעט חרוסת ויאכלם בהסבה
- יאכל הכורך, בהסבה לצד שמאל
- גבר שלא היסב, יחזור לאכול שוב בהסבה, ואם קשה לו מאוד לאכול שוב, יצא ידי חובה בדיעבד
- אישה שלא הסבה באכילת הכורך יצאה ידי חובה בדיעבד ואינה צריכה לחזור והסב שוב
- זקן או חולה שלא יכול לאכול את הכורך (היינו הכזית מצה עם כזית מרור), די שיאכל מעט מצה עם מעט מרור

שולחן עורך
- לאחר אכילת הכורך, אוכלים את סעודת החג בשמחה
- לא צריך להסב בסעודה ומי שרוצה יכול להסב, ואם היסב הרי זה משובח

צפון (אפיקומן(
- בסיום הסעודה קודם ברכת המזון, אוכלים את האפיקומן שהוא זכר לקורבן פסח שהיה נאכל על השובע
- שיעור אכילת האפיקומן:
- עיקר הדין: יאכל כזית מצה, 27 גרם, מהמצה ששבר ביחץ, החלק הגדול (שהוא האפיקומן(
- יש מחמירים: לאכול 2 כזתות, 54 גרם באופן הבא:
- כזית אחד: זכר לקורבן פסח שהיה נאכל על השובע
- כזית השני: זכר למצה שהייתה נאכלת עם קורבן הפסח
- אדם המחמיר לאכול 2 כזתות, יחמיר לעצמו בלבד, שכן דעת רוב הפוסקים שדי בכזית אחד בלבד. וכן ניתן להקל ולאכול שיעור של 18 גרם בכזית השני
- צריך לאכול את האפיקומן לתאבון, כלומר שהאדם עדיין לא שבע מאכילתו אלא מתאווה מעט לאכול (ולכן חכם עיניו בראשו וישאיר מקום לאפיקומן(
- אדם שאכל את האפיקומן שהוא שבע כל כך עד שקץ באכילתו, לא יצא ידי חובת אכילת אפיקומן, אמנם אם אוכל את האפיקומן לא לתאבון כל כך אך אינו קץ באכילתו, יצא ידי חובה
- יאכל האפיקומן, בהסיבה לצד שמאל, ויזכיר לבני ביתו להסב באכילת האפיקומן
- קודם אכילת האפיקומן יאמר: "זכר לקרבן הפסח שנאכל על השובע"

ברך
- אחר אכילת האפיקומן יטול ידיו למים אחרונים ויברך ברכת המזון. ואם יש שלושה שאכלו יעשו זימון

- ישטוף הכוס וידחנו אפילו הוא נקי וימלאו ביין (כוס שלישית(
- אין להסב בברכת המזון
- יוסיף ויאמר "יעלה ויבוא" בברכת המזון
- אחר ברכת המזון יברך בורא פרי הגפן על היין כוס השלישית ויכוון לפטור את הכוס הרביעית, (כוס רביעית שותים אותה לאחר ההלל)
- לאחר ששתה כוס שלישית, לא ישתה עוד יין בין כוס שלישית לכוס רביעית
- שותים כוס שלישית בהסבה לצד שמאל
- אדם ששכח ולא היסב בשתיית הכוס וחוזר ושותה כוס נוספת בהסבה

הלל
- לאחר שתיית כוס שלישית מוזג כוס רביעית ואומר הלל בשמחה והכול הולך אחר החיתום
- יזהר לסיים הלל קודם חצות, ואם סיימו לאחר חצות יצא ידי חובה, אך לא יחתום ברכת "יהללוך" שבהלל
- בסיום ההלל ישתה כוס רביעית בהסבה לצד שמאל (לא מברכים על כוס זו(
- גבר ששכח להיסב בשתיית הכוס וחוזר ושותה כוס נוספת הסבה

נרצה
- לאחר אמירת ההלל, מצווה להמשיך לספר ביציאת מצרים ויעסוק בתורה ובמדרשי חז"ל
- יש נוהגים לשיר את הפיוט "אחד מי יודע" "חד גדיא" ושיר השירים ומנהג יפה הוא
- מותר לשתות תה קפה עם סוכר או משקאות קלים, אך אסור לאכול : אוכל, פירות או ממתקים וכדומה

 

סיכום הסימנים בקצרה:

- קדש - מקדשים על היין ושותים כוס ראשונה בהסבה (פוטרים כוס שניה)
- רחץ - נוטלים ידיים בלי ברכה לפני אכילת הכרפס
- כרפס - אכילת מעט כרפס במי מלח ללא הסבה
- יחץ - חוצים את המצה האמצעית לשניים
- מגיד - אמירת ההגדה ובסיום ההגדה שותים כוס שניה בהסבה
- רחצה - נטילת ידים עם ברכה לפני אכילת מצה
- מוציא מצא – מסדר הסדר: אוכל 2 כזתות מצה בהסבה, שאר המסובים: אוכלים כזית מצה אחת בהסבה
- מרור - אוכלים כזית חסה ללא הסב
- כורך - אוכלים כזית מצה עם כזית חסה בהסבה
- שולחן עורך - אוכלים את סעודת החג, אם רוצה יכול להסב
- צפון - אוכלים כזית מצה בהסבה (אכילת האפיקומן(
- ברך - מברכים ברכת המזון ובסיום ברכת במזון שותים כוס שלישית בהסבה (פוטרים כוס רביעית)
- הלל - אומרים הלל ובסיומו שותים כוס רביעית בהסבה
- נרצה - ממשיכים לספר בסיפור יציאת מצרים


La guémara (Pessa’him 119a) dit que Moché Rabeinou est appelé : « Son élu », parce qu’il sut par ses prières : « détourner la colère de D-ieu. » (Téhilim 106,23). »
« Toute chose peut être changée par la demande et les supplications adressées à D-ieu, qui est miséricordieux sur tous. » (le Maharal de Prague) 

Le Noam Elimélé’h d'enseigner qu' Il y a une sphère Supérieure qui s’appelle : « Olam haTéhilla », le Monde de la Louange, qui est un monde rempli de compassion où aucun ange Accusateur n’a d’influence. En disant des Téhilim, une personne se connecte à cet sphère Supérieure où le Satan n’a aucun contrôle et les mauvais décrets s’y dissipent immédiatement.

Et Rav Yéhouda (midrach Téhilim 18) de dire : « Les Téhilim ne sont pas destinés uniquement pour David lui-même. Ils conviennent à toute situation dans laquelle se trouvera un juif, et ce 
dans toutes les générations à venir.»

«Lorsqu’arrive le moment de la prière, l’homme « arrache son âme à son corps » pour lui permettre de communiquer avec sa source (Hachem). »
(Rabbénou Yona)

« Il est préférable de rajouter de la crainte du Ciel dans ses actions 
que des h’oumrots sur la Alah’a. »
( le Rabbi de Kotzk )


Halah’a 'Time' : Questions/ Réponses

Q : Les femmes sont-elles soumises à l’obligation de la lecture du Chéma’ chaque jour?

R : Selon le Din, les femmes sont exemptes de la lecture du Chéma’, mais il est juste qu’elles lisent au moins le premier verset de la lecture du Chéma’ au quotidien. Si elles disent l’intégralité de la prière, elles ne doivent pas dire les bénédictions du Chéma’ (qui le précédent n.d.l.r) avec la mention du Nom d’Hachem, mais chez les Achkénazim, les femmes ont l’usage de dire l’intégralité du texte de la prière avec la mention d’Hachem, même dans les bénédictions du Chéma’. 


Q : Est-il permis de parler entre la ‘Amida et la répétition de l’officiant?
 
R : Lorsque l’on termine la ‘Amida à voix basse, on doit attendre en silence la répétition de l’officiant, et l’on ne doit absolument pas bavarder entre la ‘Amida et la répétition. Il n’y a pas de différence sur cette règle entre les hommes et les femmes, pour toute personne qui prie à la synagogue où il y a un officiant qui dirige l’office, l’attitude la plus juste est de ne pas parler entre la ‘Amida et la répétition de l’officiant. 
Même si l’on ne doit pas parler entre la ‘Amida et la répétition de l’officiant, il est malgré tout permis d’étudier en silence dans un livre. Certains décisionnaires autorisent même d’étudier à voix basse à partir d’un livre, comme quelqu’un qui lit des Téhilim. Mais l’officiant lui-même ne doit absolument pas s’interrompre entre la ‘Amida et la répétition. 

(Rapporté par Ouriel David ben Rabbi H'aîm, issu de halah’a yomit du Rav Obadia Yossef Zatsa''l) 


« Je n'ai pas été un juste. 
Je n'ai pas été non plus un hypocrite. 
J'ai voulu être un juif. » 
(Rabbi CHLOMO HAÏM DE LEBOVITZ) 


GARDE TA LANGUE : Rester dans le sujet, ne pas déborder !
(Il est dit dans Tossefta DePéa : Il y a trois fautes dont on demande des comptes à l’homme en ce monde et qu’il devra payer dans le monde à venir. Ce sont l’idolâtrie, les relations interdites et le meurtre : le Lachone HaRa est aussi grave que les trois.)

Nous rencontrons souvent un problème qui exige la plus grande prudence : Lorsqu'on nous adresse une demande pour obtenir des informations sur quelqu’un, parce qu’on envisage de l’employer, ou de l’associer à une affaire, et ainsi de suite. Il est clair que dans un tel cas, il est nécessaire de répondre en disant la vérité, mais il faut se rappeler de concentrer l’information uniquement sur la personne dont il est question, sans «déborder» en parlant de sa famille ou de ses voisins et de ses amis, et ainsi de suite. C’est sur lui qu’on nous a posé une question, et c’est seulement de lui qu’il faut parler ! De plus, il faut répondre uniquement sur le sujet à propos duquel on nous a interrogé, et non raconter d’autres choses à propos de cette personne qui n’ont rien à voir avec le sujet en question. Il faut faire très, très attention : Ne pas exagérer ! Ne pas introduire la moindre trace de mépris ! Ne pas sortir des choses de leur contexte !(BeCha’arei HaLachon) 
( Source Adaptation  ''La voie à suivre '' N°333, Rabbi David Hanania Pinto ) 

« Du fait que Hachem consulta les anges au sujet de la Création de l’homme, alors qu’Il créa la femme de Sa seule initiative, les femmes prononcent tous les jours la bénédiction : « Qui m’a créée selon Sa volonté », autrement dit mû par Sa volonté exclusive. »
( Le Yéchouot Yaakov)

La père du Admour-Hazaken, Rabbi Barouh faisait partie des Tsadikim Nisstarim (les justes caches) attachés au Baal Chem Tov. Le 17 Elloul 1743, Rabbi Barouh épousa la Rabbanit Rivka. Dix mois plus tard, voyant qu'elle ne réussissait pas à tomber enceinte, ils décidèrent de voyager chez le Baal Chem Tov pour obtenir une bénédiction et c'est en Elloul qu'ils arrivèrent la-bas. Le 18 Elloul de cette même année, le Baal Chem Tov organisa une Séouda comme chaque année, afin de célébrer son anniversaire. Le Tsadik dit a son élève: « Dans un an, jour pour jour, vous aurez un fils!» Le mercredi 18 Elloul 1745, naquit un garçon dans le foyer de Rabbi Barouh, ils le nommèrent Chnéour Zalman, sur le nom du père de Rabbi Barouh. Ce jour-la, à des centaines de kilomètres de Liozna, le Baal Chem Tov rentra de son Mikvé dans une humeur plus que joyeuse. Il fut ce jour là le H'azan, chanta plusieurs airs de fête durant la Téfila et ne récita pas le Tahanoun. ll organisa une Séouda juste après et dévoila alors que cela était dû à l'arrivée dans ce monde d'une âme très haute, qui répandrait la partie dévoilée de la Thora ainsi que sa partie cachée, tout en y sacrifiant sa vie. Le Baal Chem Tov promit aussi ''que cette âme réussirait sa mission jusqu'à la venue du Machiah'', que nous ayons le mérite de vivre sa venue aujourd'hui et de nos jours Amen.

« Le secret du mariage, 
c’est que chacun se sente responsable du sourire de l’autre. »
(Le Rav Yé’hia Benchétrit)

Le Tsaddik voit clair

Dans une bourgade, vivait un 'hassid dont la fille était une 'agouna ( une femme qui avait été abandonnée par son époux). Après trois ans, la pauvre femme toujours sans nouvelle de son mari, partit en compagnie de son père, demander conseil et  bénédiction à Rabbi Chnéour Zalman de Lyadi. Le rebbe leur recommanda d'aller à Vilna chez Reb Mèir Raphaels, dirigeant par alternance de la communauté local , et le charger de retrouver le disparu. Tous ceux qui connaissaient l'infortunée jeune femme, se cotisèrent pour réunir la somme nécessaire à un si long voyage, et les 'hassidim du rebbe lui firent bien comprendre qu'aussitôt arrivée chez Reb Mèir Raphaels, à l’époque notoirement opposé au h'assidisme et à leur Rabbi, elle devrait lui demander avec insistance de rechercher son mari. De plus ils précisèrent , que s'il s’il essayait de la tromper, de la chassait de sa maison, s'il la maudissait voire la frappait, elle devrait tout supporter patiemment et nullement le laisser tranquille tant qu'il n'aurait pas trouvé son mari. Car si le rebbe l'avait envoyée chez cet homme, qui n'avait aucun lien avec lui et lui était même opposé, c'est qu'à coup sûr telle était  solution. Au terme d'un long et périlleux voyage, la femme se présenta humblement à la somptueuse demeure de Reb Mèir Raphaels. Lui-même étant alors à la synagogue , elle raconta son histoire à son épouse qui trouva là sujet à rire : comment son mari pouvait-il deviner où se trouvait un inconnu ayant abandonné son épouse, trois ans plus tôt?  Quand Reb Mèir rentra chez lui, son épouse lui dit qu'à son avis, l'opposition au h'assidisme était pleinement justifiée, puisque leur 'bêtise' envoya cette malheureuse femme d'un village inconnu pour le prier de lui rendre son mari ! Et quand Reb Mèir et son épouse s'acharnèrent à démontrer à cette pauvre femme l'absurdité de sa requête, la ’agouna, nullement découragée leur fit clairement comprendre qu'elle ne bougerait pas tant qu'elle n'aurait pas retrouvé son mari.
Devant une telle détermination, Reb Mèir lui proposa de s'installer provisoirement dans le salle communautaire, le temps d'y voir plus clair. La femme suivit ce conseil mais Reb Mèïr n'en était pas pour autant débarrassé : jour après jour, elle se rendait chez lui, pleurait, et gémissait : « Rendez-moi mon mari ! » Reb Mèir  raconta l'histoire à ses proches, exemple même de la futilité des 'hassidim, et le cas de cette 'agouna devint le sujet de conversation favori des opposants à la « Secte ». 
Quelques jours passèrent et   Reb Mèir fut convoqué au poste de police de Vilna. En tant que dirigeant communautaire, il était de temps à autre invité à  confirmer l'identité des suspects sans papiers ramenés en ville, après quoi on les relâchait. 
Mais cette fois-ci, tandis que les prisonniers indiquaient à tour de rôle leur nom et leur lieu de naissance, l'un d'entre eux cita le nom du village de la 'agouna. Comme frappé par la foudre, Reb Mèïr prit à peine le temps de dire aux policiers d'attendre son retour et se rua chez lui. Il y fit venir la 'agouna et la soumit à toutes sortes de questions afin d'identifier au mieux son mari; Et de fait, le portrait qu’elle fit correspondait en tout point au prisonnier ! Il l'emmena au poste de police où elle reconnut son mari sur-le-champ. Sur les instances de Reb Mèir, l'homme fut relâché et en présence du rabbin local, il libéra sa femme du contrat de mariage en lui remettant le certificat de divorce.
Et de ce jour, l'avis de  Reb Mèir sur le h'assidisme et Rabbi Chnéour Zalman se modifia...

CHABAT CHALOM ET BON MOIS DE CHEVAT À VOUS AINSI 
QU’ À TOUTE VOTRE FAMILLE !


Se raser la barbe


Il est dit dans la Torah (Vayikra 19) :

«Tu ne raseras pas le coin de ta barbe. »

La Guémara Makkott (20a) explique que l’on est condamnable uniquement si l’on a rasé la barbe avec un rasoir (c'est-à-dire une lame), et uniquement s’il s’agit d’un rasage qui provoque une destruction du poil, mais s’il s’agit de se raser avec des ciseaux, même si le résultat de ce rasage ressemble à celui du rasage à la lame, il n’y a là aucun interdit selon le Din. Malgré tout, le RYTBA écrit en ces termes : « Lorsque la Torah dit « ils ne raseront pas le coin de leur barbe », selon le strict Din, tant qu’on se rase avec des ciseaux, même si cela ressemble à la lame, cela reste permis. Mais par mesure de piété (Midatt H’assidout), on ne le fait pas par crainte du regard des autres. C’est ainsi qu’il faut agir. »

Telle est également l’opinion de la majorité nos maîtres les Richonim (décisionnaires de l’époque médiévale), que du point de vue de la Halah’a il est permis de se raser la barbe avec des ciseaux, même si l’on rase de près. C’est ainsi que tranche MARAN dans le Choulh’an ‘Arouh’ (Yoré Dé’a chap.181) qu’il est permis de se raser avec des ciseaux qui ressemblent à un rasoir.

Mais se raser la barbe avec un véritable rasoir constitue une très grave transgression d’un interdit de la Torah. Celui qui commet une telle faute ne doit pas être désigné comme Chaliah’ Tsibbour (officiant) pour acquitter l’assemblée de leur devoir, car il transgresse avec mépris l’une des lois les plus graves de la Torah. Le châtiment d’un tel individu est écrit de façon explicite dans le Zohar Ha-Kadoch ainsi que dans les ouvrages des Kabbalistes qui affirment qu’un tel acte représente véritablement une des plus lourdes et des plus terribles fautes de la Torah.

Ces dernières générations ont vu apparaître une nouveauté dans le domaine du rasage de la barbe : le rasoir électrique. Il est vrai que des Grands d’Israël ont catégoriquement interdit l’utilisation de cet appareil, et parmi eux le Gaon « Le Grand Cohen » notre maître Rabbi Israël Meïr de Radin (le H’afets H’aïm) zatsal. Malgré tout, de nombreuses autres sommités de la Halah’a avaient l’usage d’autoriser l’utilisation du rasoir électrique. Ce sujet fait l’objet d’un grand débat dans les propos des décisionnaires contemporains. La raison essentielle pour autoriser reste l’argument que nous avons cité, c'est-à-dire : même s’il est interdit de se raser la barbe au moyen d’une lame, malgré tout, lorsqu’on se rase avec des ciseaux, même si le résultat ressemble au résultat d’un rasage à la lame, il est quand même permis selon le strict Din de les utiliser pour se raser.

La majorité des rasoirs électriques sont constitués de deux parties :
Une lame et un morceau de métal situé face à la lame.

Le rasage s’effectue ainsi :
Quand la lame qui tourne rencontre le poil, elle ne le coupe que lorsqu’elle heurte le morceau de métal qui se trouve face à elle. A ce moment-là, le poil se trouve coincé entre les deux et se coupe.
Il semble donc que ce procédé s’apparente totalement à l’action d’une paire de ciseaux, avec lesquels – comme nous l’avons écrit- il est permis de se raser, même si cela peut ressembler à l’action d’une lame.

En particulier, lorsque l’appareil n’atteint absolument pas la peau du visage, puisqu’il y a une grille qui fait séparation entre les lames et la peau du visage, afin d’éviter des blessures à la personne qui se rase. Il n’y a donc là aucune crainte de véritable rasage interdit par la Torah, et cela ressemble plutôt à n’importe quel traitement de la barbe au moyen de ciseaux, avec lesquels il n’y a pas le moindre risque d’interdiction puisque les ciseaux ne rasent pas totalement la barbe. C’est ainsi que tranchait le Gaon notre maître Rabbi Tsvi Pessah’ FRANCK zatsal, qu’il y a lieu d’autoriser l’utilisation du rasoir électrique en faisant simplement attention à ne pas appuyer fortement l’appareil contre le visage, afin qu’il n’y ait pas de risque que les lames touchent véritablement le visage, et selon ces conditions, on peut autoriser.

Cependant, les rasoirs électriques fabriqués ces dernières années posent un nouveau problème.
En effet, les fabricants de rasoirs électriques - constamment à la recherche d’un résultat de rasage « de près » - désirent que les lames du rasoir soient le plus près possible de la peau du visage. Afin d’atteindre cet objectif, ils ont conçu une grille souple et extrêmement fine, qui fait séparation entre la lame et la peau du visage. Or, étant donné que la peau du visage est quelque peu élastique, le fait d’appuyer l’appareil contre le visage peut entraîner la peau vers la lame qui coupera immédiatement le poil, exactement comme l’aurait fait un rasoir manuel dont l’utilisation est interdite par la Torah. À cause de cela, certains Grands décisionnaires de notre génération ont fait remarquer qu’il était souhaitable de ne pas utiliser ces appareils. Mais d’autres Grands décisionnaires ont autorisé pour différentes raisons.

Du point de vue de la Halah’a, notre maître le Rav Ovadia YOSSEF Chlita écrit que celui qui s’autorise l’utilisation du rasoir électrique dans une situation de grande nécessité – comme pour des raisons de Parnassa (subsistance matérielle) ou pour des raisons de Chalom Baït (la paix au foyer) – cet homme a sur quoi s’appuyer du point de vue de la Halah’a. Mais ceci à une condition : il doit veiller à ne pas appuyer fortement l’appareil contre la peau du visage, afin que le poil ne soit pas coupé par la lame elle-même au contact de la peau du visage, comme nous l’avons expliqué.

Malgré tout, puisqu’il s’agit de choses qui touchent une interdiction de la Torah, il est bon et juste pour celui qui en a la possibilité de raser sa barbe avec un appareil qui ne comporte pas ce type de risque, par exemple avec un appareil dont on est certain qu’il ne rase pas jusqu’à la racine, mais seulement en surface. Ou bien d’adopter l’usage de ne pas se raser totalement et de laisser sa barbe pousser légèrement en se contentant de la tailler de façon propre et esthétique. En agissant ainsi, on s’acquitte de tous les avis.

Mais celui qui se rase à la lame véritable, a le devoir de s’éloigner d’une aussi grave interdiction, et d’adopter l’utilisation du rasoir électrique qui – de notre époque – rase parfaitement bien et satisfait même celui qui avait l’usage de se raser au moyen d’une véritable lame.





APPRENDRE L'HEBREU ALYAH REUSSIE

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