Accéder au contenu principal

Libellés

Plus d'éléments

Le plateau du golan

תוצאת תמונה עבור ‪le plateau du golan wikipedia fr‬‏


Le plateau ouest du Golanhauteurs du Golansous-district de Golan ou ouest Golan (en arabe الجولانal-Jūlān, en hébreu גולןGolan), est un territoire syrien occupé et administré par par Israël depuis de la guerre des Six Jours en 1967 puis annexé unilatéralement en 1981.
La majeure partie du Golan a été conquise sur la Syrie par Israël au cours de la guerre des Six Jours et de la guerre du Kippour. Il fait partie des Territoires occupés par Israël faisant l'objet de la résolution 242 du Conseil de sécurité des Nations unies. Israël a annexé le Golan à son territoire en 1981 mais l'annexion n'a pas été reconnue par la communauté internationale et a été considérée par la résolution 497 du Conseil de Sécurité, comme étant « nulle et non avenue et sans effet juridique sur le plan international ».
Au cours de l'Antiquité, le territoire est habité par divers peuples, dont les Amorites, les Ituréens et les Israélites. La présence israélite se termine en 636, avec la conquête arabe sous Omar ibn al-Khattâb. Les Druzes s'y installent à partir du xve siècle. Il fait partie de l'Empire ottoman à partir du xvie siècle, et diverses populations s'y installent. En 1918, il fait partie du mandat britannique sur la Palestine et est cédé au mandat français en 1922 jusqu'à l'indépendance de la République syrienne en 1946.
Aujourd'hui, la région abrite environ 30 000 Israéliens et 22 000 Druzes. Le plateau du Golan représente une zone stratégique très importante dans le contexte du conflit israélo-arabe. Il domine par sa position la Galilée (Israël) et la plaine de Damas (Syrie). Il contrôle également la plupart des sources alimentant le lac de Tibériade et le Jourdain. L'agglomération la plus peuplée en est l'agglomération druze de Majdal Shams.

Histoire


Antiquité


Le site de Gamla
Gamala (aujourd'hui Gamla) était la ville juive la plus importante de la région lors de la première guerre judéo-romaine. Flavius Josèphe relate dans la Guerre des Juifs le siège et la prise par les Romains de la forteresse de Gamala dont les habitants préférèrent se suicider que se rendre aux Romains. Si le site ne fut pas réoccupé, la présence juive a perduré sur le Golan pendant les périodes romaine et byzantine à Qatzrin.

Pionniers sionistes


À partir de la fin du xixe et le début du xxe siècle, des associations sionistes achètent des terres dans le plateau du Golan et du Hauran, qui est alors ottoman. En 1885, des membres du vieux Yishouv achètent 15 000 dounams (environ 15 km2) dans le centre du Golan au village de Ramthaniye puis 2 000 dounams au village de Bir e-Shagum. De 1891 à 1894, le baron Edmond de Rothschild achète 150 000 dounams dans le plateau du Golan et jusque dans les années 1930, elles sont gérées par les organisations sionistes. 100 000 dounams sont acquis par la suite par une association sioniste Agudat Ahim society et divers projets sont tentés comme la construction du village de Tiferet Binyamin par Shavei Zion Association.

Mandats britannique et français



Accord franco-britannique de 1920, frontière du mandat britannique sur la Palestine de 1923, ligne d'armistice et zone démilitarisés en 1949, ligne de cessez le feu de 1967, ligne de retrait de 1974.
À l'issue de la Première Guerre mondiale, le Levant est conquis sur l'Empire ottoman par les forces britanniques, françaises et arabes. Lors de la conférence de San Remo, il est décidé de placer cette région sous mandats britannique et français. Entre 1920 et 1923, ces derniers négocient le tracé des frontières entre leurs mandats respectifs. Initialement, une partie du Plateau du Golan est destinée au Mandat britannique de Palestine. À l'issue des négociations en septembre 1923, le Golan est entièrement rattaché au Mandat français de Syrie et le lac de Tibériade au Mandat britannique de Palestine.

République syrienne: 1946-1967


À la fin du mandat français, le plateau du Golan est incorporé à la République arabe syrienne qui déclare son indépendance en 1946. Le , Israël déclare son indépendance dans le contexte du Plan de partage de la Palestine. Le plateau du Golan fait partie de la Syrie.

Incidents de frontières à partir de 1948


Après avoir été repoussées par la Haganah pendant la guerre israélo-arabe de 1948-1949, les troupes syriennes se sont cantonnées sur le Golan. De 1948 à 1967, la Syrie, profitant de la position dominante du Golan pratique une politique de harcèlement des Israéliens situés dans la vallée du Jourdain à laquelle Israël ne peut répondre efficacement. Dans les années 1960, la Syrie initie un programme de détournement des eaux, privant Israël d'une importante part des eaux qui lui était allouée par le plan des États-Unis, qui avait supporté les projets de développement de la vallée du Jourdain (plan Johnston). Ce qui résulte en une confrontation entre Israël, la Syrie et la Jordanie depuis novembre 1964 jusqu'en mai 1967. Depuis 1965, le Fatah mène des raids en Israël de plus en plus souvent depuis le plateau du Golan. En avril 1967, l'armée syrienne bombarde les villages israéliens depuis les hauteurs du Golan.

Conquête par Israël durant la guerre des Six jours


En juin 1967, lors de la guerre des Six Jours, Israël conquiert en deux jours une partie importante du plateau du Golan. Ce dernier devient un territoire occupé. La conquête du plateau par Tsahal constitue pour l'État hébreu un avantage stratégique sur les positions occupées en contrebas par l’armée syrienne, le bastion du Golan surplombant de manière décisive la route de Damas.
Avant la guerre des Six Jours en 1967, le Golan comptait une population d'environ 120 000 Syriens (dont des Turkmènes, des Circassiens et 10 000 Palestiniens) et 30 000 soldats. Les autorités syriennes appellent la population syrienne à « abandonner leurs habitations et leurs propriétés » et dès le mois de juin, l’armée israélienne détruit les structures abandonnées qui sont ensuite endommagées par le climat hivernal. Seuls 6 000 à 7 000 Druzes restent sous contrôle israélien. Après la guerre, la démographie du Golan est bouleversée : 30 000 Syriens fuient lors des combats et à la fin de l’année, de 90 000 à 115 000 civils (Syriens et réfugiés palestiniens) ont quitté le plateau du Golan.
Quelques mois après la guerre des Six Jours, la résolution de Khartoum adoptée le 1er septembre 1967 par huit pays arabes rejette toute négociation avec Israël dont celle sur le sort du plateau du Golan.

Premières implantations israéliennes


Un mois après la guerre, en août 1967, le gouvernement israélien donne son feu vert à l’implantation de 35 avant-postes du Nahal (des implantations de fermiers-soldats) ainsi qu’à la culture des terres par des Israéliens. Un an après la guerre, le Golan comptait également six colonies israéliennes.

Guerre du Kippour


En octobre 1973, l'Égypte et la Syrie déclenchent la guerre du Kippour. Après une percée initiale de l'armée syrienne qui lui permet de réoccuper environ 60 % du Golan, l'armée israélienne repousse les Syriens jusqu'à environ 40 km de Damas, mettant ainsi la ville à portée de canon.
Cependant, un cessez-le-feu est signé entre les belligérants et Israël accepte de revenir sur ses positions de 1967 (reculant ainsi de la ligne Bravo à la ligne Alpha), tandis que la zone évacuée par Tsahal devient un no man's land placé sous le contrôle de la Force des Nations unies chargée d'observer le dégagement (FNUOD) dès 1974. Entre les deux lignes de séparation l'écart minimal est d’à peine 3,5 km, mais il détermine l’accès au lac de Tibériade et à la haute vallée du Jourdain. La ville de Kuneitra qui était la ville la plus importante du plateau reste dans la zone démilitarisée sous contrôle syrien et est abandonnée.
La résolution 350 du Conseil de sécurité met en place une Force d'observation qui s'installe dans la zone tampon entre les deux belligérants.

Négociations


Tandis que les négociations de Camp David mènent à un accord de paix entre l'Égypte et Israël avec une reconnaissance mutuelle et la restitution du Sinaï à l'Égypte, le , Israël annexe unilatéralement le Plateau du Golan et le rattache à son District nord, ce qui lui vaut la condamnation du Conseil de sécurité des Nations unies au travers de la résolution 497 votée 3 jours plus tard. Depuis la conférence de Madrid de 1991, la question de la souveraineté sur le Golan est posée par Damas, comme une condition majeure pour entamer un éventuel processus de paix israélo-syrien.
Après son élection en 1999, le premier ministre Ehud Barak impose un moratoire sur le développement du plateau du Golan afin de faciliter les négociations de paix avec la Syrie, sous les auspices du président américain Bill Clinton. Mais à la suite de l’échec des pourparlers, cette décision est levée le  et en , le gouvernement d’Ariel Sharon annonce la reprise du développement structurel de la région.

Guerre civile syrienne


La guerre civile syrienne éclate en 2011 et les combats ne tardent pas, au bout d'un an de conflit, à provoquer des incidents de frontière.
Officiellement, Israël est neutre dans la guerre civile, mais son opposition au gouvernement syrien demeure. Les Israéliens ont accueilli et soigné des Syriens qui se sont présentés avec des blessures dues à cette guerre, en si grand nombre que l'armée israélienne a fini par établir un hôpital de campagne à leur intention. Cependant les observateurs notent que les Israéliens ne soignent pas forcément que des civils, mais aussi des combattants rebelles. Quelques Syriennes enceintes ont pour leur part été transférées dans des hôpitaux en Israël pour y accoucher. De même, Israël envoie des aides humanitaires ainsi que de l'eau et de la nourriture pour les réfugiés syriens. L'ONG Physicians for Human Rights a pour sa part critiqué le refus d'Israël d'accueillir une Syrienne de 17 ans alors qu'elle avait fait une demande d'asile.
En 2014, la guerre civile syrienne force l'ONU à évacuer la zone tampon que se disputent le gouvernement et les rebelles syriens.

Statut


La partie occidentale du Golan a été conquise sur la Syrie par Israël au cours de la guerre des Six Jours et conservé après la guerre du Kippour. Il fait partie des Territoires occupés par Israël faisant l'objet de la résolution 242 du Conseil de sécurité des Nations unies. La résolution 242 du Conseil de sécurité des Nations unies votée le  souligne « l'inadmissibilité de l'acquisition de territoires par la guerre et la nécessité d'œuvrer pour une paix juste et durable permettant à chaque État de la région de vivre en sécurité ».
Israël a annexé le Golan à son territoire en 1981 par la Golan Heights Law (loi des hauteurs du Golan), qui n'est pas reconnue par la communauté internationale et a été condamnée par la résolution 497 du Conseil de Sécurité.
Selon la position de l'ensemble de la communauté internationale au regard du droit international public, le plateau du Golan, de facto occupé et administré par Israël, est de jure un territoire syrien car la situation est régie par l'article 2.4 de la Charte des Nations unies. C'est également la position de l'ensemble de la communauté internationale.
À la suite de son annexion, le plateau est considéré comme territoire israélien aux yeux de la loi de l'État hébreu. Pour justifier son annexion, Israël avance que le plateau du Golan aurait fait initialement partie du Mandat de Palestine prévoyant l'établissement d'un foyer national juif sur ce territoire, qu'il fait partie de l'histoire et de la religion juives et que son contrôle est nécessaire à sa sécurité. Certains de ses dirigeants ont néanmoins déclaré être prêts à le restituer en échange de la signature d'un accord de paix.
En 2008, l'Assemblée générale des Nations unies a voté par 161 voix contre 1 en faveur d'une motion pour dénommer le territoire « Golan syrien occupé » tout en réaffirmant son soutien à la résolution 497 du Conseil de sécurité.
Selon Yoram Dinstein, « même si l'interprétation annexionniste de la législation intérieure israélienne était correcte, cela n'aurait pas d'impact sur le statut du plateau du Golan conformément au droit international. Dans sa résolution 497 (1981), le Conseil de sécurité a établi que la décision d'imposer sa loi, sa juridiction et son administration dans le plateau du Golan syrien occupé était nulle et non avenue et sans légalité internationale ».
En sus, le Liban revendique une zone d'environ 22 km2, dénommée fermes de Chebaa. La position syrienne sur cette revendication n'est pas claire.

Mission de l'ONU


La Force des Nations unies chargée d'observer le dégagement (ou FNUOD) a été établie par la résolution 350 en date du  pour mettre en œuvre la résolution 338 en date du  du Conseil de sécurité de l'ONU, afin de contrôler l'application du cessez-le-feu entre les forces israéliennes et syriennes dans le no man's land du plateau du Golan né à la suite de la guerre du Kippour en 1973.
Le , le personnel de l'ONU chargé de surveiller le cessez-le-feu et la zone de désengagement délimitée en 1974 entre Israël et la Syrie qui compte 1 223 hommes venus de six pays (Inde, Fidji, Philippines, Irlande, Pays-Bas et Népal) a quitté ses positions et s'est rendu en Israël alors que son mandat venait d'être renouvelé pour six mois jusqu'au , afin de s’éloigner de la zone des combats qui opposent les soldats de l'armée régulière syrienne et les rebelles islamistes, dont ceux du Front al-Nosra, la branche syrienne d'Al-Qaïda qui sont en passe de prendre le contrôle de la province de Kuneitra dans la partie du Golan non occupée par Israël. La raison du départ n'a pas été communiquée par les Nations unies. Peu auparavant, des dizaines de membres de la FNUOD avaient été capturés et attaqués du côté syrien du plateau. Le 28 août, 45 des Casques bleus fidjiens avaient été détenus par le Front al Nosra puis libérés après négociations avec l'ONU. Dans un premier temps, le Front al-Nosra avait réclamé une aide humanitaire et son retrait de la liste des organisations terroristes de l'ONU en échange de leur libération.
Depuis le Golan sous contrôle israélien, la FNUOD continue de jouer son rôle d'observateur, et a dénoncé les échanges entre Israël et les rebelles syriens.

Reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté israélienne


Le 25 mars 2019, le président américain Donald Trump signe un décret reconnaissant la souveraineté d’Israël sur le Golan, dont l'annexion n’a jamais été reconnue par la communauté internationale. Un porte-parole des Nations-Unies a rappelé notamment la résolution 497, adoptée en 1981 par le Conseil de sécurité, qui considère la décision israélienne d'annexer le Golan comme « nulle et non avenue et sans effet juridique sur le plan international. ».

Géographie



Vue du rebord occidental du plateau du Golan.

La bibliothèque et la maison de la culture de Qatzrin.

Le lac Ram et le mont Hermon, dans le nord du plateau.
Ses frontières naturelles sont au nord le mont Hermon, point culminant de la chaîne de l'Anti-Liban, à l'ouest la dépression du cours supérieur du Jourdain, correspondant à la vallée de la Houla, et du lac de Tibériade, au sud la vallée encaissée du Yarmouk. Il constitue un horst oriental de la faille du Levant qui s'étire du nord au sud entre le mont Liban et la mer Rouge ; la vallée du rift du Jourdain le sépare à l'ouest des monts de Galilée. De ce fait, son rebord occidental est relativement abrupt par rapport à ses frontières méridionales, orientales et septentrionales. Il est parsemé de nombreux cratères volcaniques dont la plupart le traversent en un alignement orienté nord-nord-ouest-sud-sud-est. Cette activité géologique est à l'origine de son sol basaltique propice à l'agriculture.
Le territoire du plateau du Golan est essentiellement formé du plateau du même nom. Il regroupe ainsi la moitié occidentale du plateau du Golan mais aussi d'autres reliefs comme le flanc sud-ouest du mont Hermon au nord et une petite frange de la dépression du cours supérieur du Jourdain et du lac de Tibériade.
Administrativement, il est de facto annexé par Israël qui l'a intégré comme un sous-district de son district nord.

Démographie


En 2014, la population du Golan est estimée à 22 000 Druzes, et 30 000 israéliens vivant dans 35 colonies. Environ 10 % des Druzes ont pris la nationalité israélienne.
Qatzrin est, avec une population de 7 000 habitants, le siège du Conseil régional du Golan quand Majdal Shams, avec 10 000 habitants druzes pour la plupart, en est l'agglomération la plus importante.

Économie


L’économie est axée sur l’agriculture. Le Golan est particulièrement réputé pour ses pommes, son eau de source et son vin primé internationalement. Un tiers de la production vinicole vendue sous étiquette israélienne provient de cette région. Le meilleur cru est le domaine de Bashan, qui fait un vin totalement « biologique ». La production d’huile d’olive est également très réputée. C’est également une vieille région d’élevage puisque 40 % de la viande consommée en Israël en provient.
Malgré l’omniprésence militaire, le tourisme vert se développe. Les pentes enneigées du mont Hermon comptent même une station de sports d’hiver. Aujourd’hui, c’est surtout la question de l’eau qui est au cœur de l’agenda politique israélien et régional. Une partie des affluents du Jourdain trouvent leur source sur le plateau et 35 % de l’alimentation aquifère du pays provient de cette région.


תמונה קשורה
APPRENDRE L'HEBREU
ALYAH REUSSIE

Posts les plus consultés de ce blog

Nombre total de pages vues

Les Articles Les Plus Consultés

"Devenir un vrai Israélien" : le challenge des jeunes immigrés de l'ex URSS

  "Devenir un vrai Israélien" : le challenge des jeunes immigrés de l'ex URSS "Vous ne connaissez pas la langue, tout est nouveau et étrange, y compris la culture, les vacances, nous devions les aider à traverser cette épreuve" "Je n'arrive toujours pas à m'habituer au fait que le pain soit si cher", souffle un homme près d'une glacière. "Il suffit de savoir où l'acheter. Je vais vous donner une liste de magasins plus abordables", le rassure un autre.  Une minute plus tôt, ces deux hommes écoutaient un psychologue leur expliquer pourquoi l'anxiété, voire la colère, étaient des sentiments normaux du processus d'immigration. Et il y a une heure encore, ces hommes ne se connaissaient pas, ils n'avaient rien en commun. A part une chose : leur origine. Tous deux viennent de pays de l'ex-Union soviétique. Une association, "Shishi Shabbat Yisraeli", les a réunis en Israël, dans un magnifique kibboutz situé à...

Les Israéliens pensent que Facebook est le réseau social le plus haineux

  Les Israéliens pensent que Facebook est le réseau social le plus haineux, selon une enquête Les discours haineux en ligne poussent beaucoup d'Israéliens à éviter d'exprimer leurs opinions Une enquête de l'Association israélienne de l'Internet publiée lundi matin et menée par l'institut de recherche  Mindpool,  révèle que de nombreux Israéliens subissent des préjudices en ligne sur internet incluant la haine, le harcèlement, l'exposition de détails intimes et les discours violents. Les données de l'enquête ont également montré que les discours haineux affectent les internautes et poussent beaucoup d'entre eux à éviter tout simplement de discuter et d'exprimer leurs opinions en ligne. 22% des Israéliens ont déclaré avoir été personnellement victimes d'insultes et d'abus sur les réseaux sociaux au cours de l'année écoulée, tandis que 18% affirment avoir été personnellement victimes de surveillance ou de harcèlement au cours de la même péri...

L’Université de Tel-Aviv créé un programme pour la promotion des femmes en médecine

  L’Université de Tel-Aviv créé un programme pour la promotion des femmes en médecine "Nous voulons orienter nos étudiantes vers le succès, grâce à ce programme semestriel de rencontres bi-hebdomadaires." L’Université de Tel-Aviv a lancé un nouveau programme, créé pour et par les étudiantes des divers départements de la Faculté de médecine à différents niveaux d’études, sous le titre « Femme en médecine » (« Women in Medicine » ou WIM). Le programme, semestriel, constituera un lieu de dialogue ouvert, où les étudiantes de la Faculté pourront créer des liens significatifs entre femmes au sein d’une communauté, et bénéficier de conseils, d’un mentorat et d’un soutien dans les domaines de la recherche clinique, la technologie et l’entreprenariat. "Des spécialistes renommées partageront leurs connaissances et les leçons qu’elles ont tirées de leur expérience, sur des sujets comme l'entrepreneuriat, l'intégration dans le monde de la recherche, la promotion universitai...

LA NEIGE ARRIVE

  Israël: le plateau du Golan recouvert de neige, Jérusalem se prépare à ses premiers flocons Les services d'urgence et de sauvetage se préparent à une tempête majeure qui devrait durer jusqu'à jeudi Les résidents du plateau du Golan, dans le nord d'Israël, se sont réveillés mercredi sous une épaisse couche de neige, tandis que des chutes sont également attendues sur les plus hauts sommets du centre du pays, notamment à Jérusalem. Les services d'urgence et de sauvetage se préparent à une tempête majeure qui devrait durer jusqu'à jeudi. La police a déclaré que les principaux axes du Golan ont été interdits à la circulation, les écoles de la région sont restées fermées en raison des conditions météorologiques. Les premiers flocons sont apparus mercredi matin sur les plus hauts sommets et se sont répandus sur le reste du plateau, ainsi que sur les hautes terres de Galilée. Sur le mont Hermon, point culminant du pays, 15 centimètres de neige ont été enregistrés aux nive...

Seuls 1 200 orthodoxes sur 24 000 ont répondu à leur convocation de l'armée

  Seuls 1 200 orthodoxes sur 24 000 ont répondu à leur convocation de l'armée La police militaire a annoncé des mesures de répression renforcées Le général de brigade Shai Taieb, chef de la Division de la planification et de la gestion du personnel de Tsahal, a révélé lundi devant le Comité d'audit de l'État des chiffres particulièrement préoccupants concernant le recrutement des orthodoxes. Depuis l'annulation du statut qui exemptait les étudiants religieux du service militaire, le taux de réponse aux ordres d'enrôlement reste dramatiquement faible. Sur les 24 000 jeunes Haredim convoqués pour la première fois cette année, seuls 1 200 se sont présentés à ce jour, soit un taux de réponse de 5%. Ce chiffre illustre l'ampleur du défi auquel fait face l'armée israélienne pour intégrer cette communauté traditionnellement exemptée du service militaire. La situation s'est dégradée au fil des vagues de convocation. Si 738 personnes avaient répondu lors de la pr...

PRIX GENESIS

  Israël: Albert Bourla, PDG de Pfizer, a reçu le prix Genesis à Jérusalem Des dizaines de manifestants - dont de nombreux antivax - se sont rassemblés devant le théâtre de Jérusalem Albert Bourla, président-directeur général de Pfizer, a accepté mercredi soir à Jérusalem  le prix Genesis  d'un million de dollars (957. 450 euros), et a annoncé qu'il ferait don de ces fonds à un musée de la Shoah prévu à Thessalonique, en Grèce, où il est né. Fils de survivants de la Shoah, M. Bourla a dirigé l'entreprise qui a réussi à développer le vaccin Pfizer-BioNTech contre le Covid-19 en seulement neuf mois. On    estime que près de   20 millions de vies ont été sauvées par les vaccins   contre le coronavirus au cours de la première année. Le Prix Genesis, décerné depuis 2014, est attribué à "des personnes extraordinaires pour leur réussite professionnelle exceptionnelle, leur contribution à l'humanité et leur engagement envers les valeurs juives." Lors d'une cér...

Israël annonce l'ouverture de sa saison touristique en affirmant que le pays est "sûr"

  Source : i24NEWS Israël annonce l'ouverture de sa saison touristique en affirmant que le pays est "sûr" Israël a enregistré une chute de 78 % du tourisme entre janvier et avril 2024 Le ministère du Tourisme israélien a déclaré mercredi la saison touristique ouverte en affirmant que le pays était "sûr". Une qualification qui a surpris, notamment en France où cette destination est vivement déconseillée par le ministère des Affaires étrangères en raison de la guerre en cours.  Dans les faits, certaines zones du nord et du sud d'Israël sont la cible de tirs quotidiens de roquettes et de missiles, tandis que 100 000 habitants de ces régions, déplacés après le 7 octobre, ne sont toujours pas en mesure de regagner leurs domiciles. En dehors des villes et kibbouz à portée des tirs du Hamas et du Hezbollah, la vie se déroule à peu près normalement, abstraction faite de l'évidente morosité liée à la guerre en cours. "Les grandes zones touristiques telles Jé...
                                                                 
AUX COURS D'HEBREU MODERNE
                                                                                
AUX COACHING D'HEBREU MODERNE
                                                                          

תוצאת תמונה עבור ‪bouton rejoindre la formation‬‏

L'Israël, par Kurlentcy Vil et Émilie Tirrell, groupe 203